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ITALIA E FRANCIA A CONFRONTO AL TEMPO DEL COVID
Uno studio europeo riporta che, in questo periodo di profonda incertezza causato dal Covid19, sono stati in prevalenza i giovani i più colpiti a livello di apprendimento e socializzazione. Questo dato, non riscontrabile solo nella nostra nazione, ha interessato soprattutto il mondo della scuola. Attraverso un dialogo a distanza con Jean Lagorsse, un ragazzo francese di 15 anni che frequenta il liceo a Limours, un comune francese situato nel dipartimento dell’Essonne nella regione dell’Île-de-France, due studentesse, Asia e Giulia della classe 4^F del Liceo economico- sociale, hanno cercato di indagare su come si fossero organizzate le scuole all’estero durante questa pandemia. Asia ha avuto la possibilità di conoscere Jean fin dalla tenera età, quando i loro parenti si incontravano in Sicilia per le vacanze. Tra loro si è creata una forte amicizia ostacolata purtroppo inizialmente dalla diversità linguistica. Un ostacolo che però, nel corso degli anni, è stato superato grazie allo studio del francese da parte dell’alunna dell’Istituto Gigli.
Après une réflexion en classe avec Madame le professeur Gisa Mainardi nous avons pensé de contacter Jean donc on a eu l’occasion de lui poser des questions à travers whats-app et facetime.
Voilà une photo de Jean qui tient dans ses mains un peluche reversibile très célèbre surtout à l’étranger qui représente la situation actuelle: un visage triste, plutôt que heureux .
Après les salutations il nous a parlé de lui-même: il habite à Limours, une belle commune française, située à 30 kilomètres de Paris. Il fréquente le lycée “Jules Verne” en classe de seconde où il privilégie deux matières, mathématique et physique-chimie, et comme option, science de la vie et de la terre. Il pense qu’il va continuer ses études scientifiques et devenir pilote de chasse.
Toutefois le but de notre interview est de connaître de près la situation scolaire française pendant cette période de pandémie.
“En France le gouvernement a été plutôt indécis… ça dépend des écoles et du niveau, mais suite au gros confinement il y a des couvre-feux fixés à différents horaires. Aujourd’hui tous les français doivent être chez eux à 18,00 heures, par exemple.
C’est sûrement très difficile parce que nous n’avons pas le contact avec nos amis. En outre nos restaurants sont fermés depuis longtemps. Ça empêche les rassemblements: en fait le couvre-feu s’applique partout.”
Cette photo demontre que le but du système scolaire est de proteger tous les élèves et les adultes et assurer l’éducation pour tous.
On lui a posé une question en ce qui concerne l’école et en particulier l’organisation pédagogique et didactique
“Certains ont cours tout le temps, à un rythme normal, et d’autres, comme le mien, ont séparé le lycée en deux groupes pour réduire l’effectif. Je fais parti du groupe B, donc je dois aller en cours le mardi, le jeudi et le samedi. Pendant les jours où je suis chez moi, les profs nous donnent du travail à distance.”
Donc en Italie aussi on travaille en groupe et à distance, mais pour avoir plus d’informations nous lui avons posé une autre question concernant la méthode d’évaluation à distance que, à notre avis, joue un rôle important.
“Les évaluations ont lieu en classe, parfois ça arrive que ce soit un genre de Quiz qui est directement envoyé par internet. Nous avons aussi quelques DM (devoir-maison) que l’on fait chez nous, et que l’on remet à nos professeurs le lendemain.”
Encore une fois on peut remarquer des points en communs avec la programmation didactique italienne.
Enfin il nous a envoyé une photo de son école. La voilà à côté de la notre.
Nous espérons voler le plus vite possible en France, mais, au même temps, nous attendons Jean en Italie avec ses camerades de classe pour un échange linguistique et culturel car le fait de nous retrouver ensemble représente une expérience concrète et l’occasion pour recommencer à vivre.
Giulia Bariselli e Asia Cutaia IV F L.E.S.
